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Valérie Belin, née le 3 février 1964 à Boulogne-Billancourt, est une photographe française. Elle vit et travaille à Paris.

Valérie Belin
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Biographie
Naissance
(60 ans)
Boulogne-Billancourt
Enfant
Louise Lenepveu née en 1996
Autres informations
Distinction
Officier de l'ordre des Arts et des Lettres (2017)

Biographie[modifier | modifier le code]

Valérie Belin suit une formation à l'Ecole des Beaux-Arts de Bourges de 1983 à 1988 et obtient ensuite un D.E.A. de philosophie à Paris-I-Panthéon-Sorbonne en 1989. Son sujet de mémoire s'intitulait : " Minimalisme : art du minimum ou artefact d'un réel en perdition ".

Sa pratique photographique est nourrie de références extra-photographiques, sculpturales et picturales, d' Edouard Manet à Richard Avedon. On retrouve aussi dans son travail l'impact que l'art américain des années 60 a eu sur elle pendant sa formation, de Robert Morris à Robert Ryman ou encore Tony Smith, mais également une attention permanente aux nouvelles technologies.

Dès ses débuts, Valérie Belin s'intéresse au médium photographique et questionne l'essence même de la photographie. En 1994, sa première exposition d'objets en cristal à la galerie Alain Gutharc à Paris [1] témoigne de sa volonté d'explorer les limites de la photographie.

Elle travaille toujours de manière sérielle en s'appuyant sur un protocole strict et minimaliste. Ses séries en noir et blanc, du début, cultivent une certaine ambiguïté,questionnent l'énigme du réel. Dans les années 2000, elle se met à utiliser les outils de post-production numériques qui lui donnent une plus grande liberté de modification et de contrôle des valeurs chromatiques et initie sa première série en couleur.

A partir de 2009, Valérie Belin emploie d’autres types de manipulations numériques, post prise de vue, qui ont toutes pour effet d’accentuer la dimension hybride, graphique et artificielle de son travail, de la solarisation aux surimpressions. Par la suite, elle va également s’emparer de formes vectorielles abstraites trouvées « readymade » sur Internet, qu’elle retravaille sur l’ordinateur pour les fondre dans ses tirages.

En parallèle, Valérie Belin explore d’autres formes d’expressions et transcende le médium de la photographie comme image fixe : ainsi « Black Eyed Susan », la vidéo réalisée en 2011 à partir de la série photographique éponyme de 2010, et la performance MJ6 (2013), chorégraphie tirée de sa série des sosies de Michael Jackson montrée au Centre Georges Pompidou.

Oeuvres (sélection)[modifier | modifier le code]

1993-1997 : Les verres et les miroirs de Venise

Les premières recherches de Valérie Belin ont porté paradoxalement sur la représentation de ce qui ne pouvait être représenté et où le « corps » était singulièrement absent : la lumière – cette lumière qui est pourtant à l’origine de toute photographie et première manifestation du monde visible. C’est ainsi, par exemple qu’elle a réalisé plusieurs photographies d’éclairages fluorescents industriels ou bien du soleil.

1996-1998 : Les robes en dentelle de Calais et les voitures accidentées

Les premières recherches de Valérie Belin sur la problématique du « corps » se sont matérialisées par la photographie de robes. Ces photographies, réalisées au musée de la dentelle de Calais et tirées en très grand format, témoignent de l’absence du corps qui les a portées et d’une certaine volonté de mémoire ou de célébration.

Les photographies d’épaves de voitures, réalisées elles-aussi en grand format, sont assez proches des séries des robes ; elles participent d’une même volonté de célébration muséographique d’où n’est pas exclue une certaine idée de mort.

1999 : Les bodybuilders


2000 : Les mariées marocaines

Souvent abstraites, les compositions de Valérie Belin se distinguent aussi par leur richesse ornementale. Parées comme des idoles, les mariées marocaines se transforment en motif décoratif, tout en affirmant l’irréductible altérité de leur présence.

2001 : Les portraits de femmes noires

Sortes de sculptures photographiques, ces « objets-visages » sont eux aussi travaillés par le fantasme : ils participent à une certaine ambiguïté existentielle à travers la notion de masque, et réaffirment aussi cette « sombre clarté » – lumière originelle dans le travail de Valérie Belin.

2002 : Les moteurs

Cette série marque le retour de Valérie Belin aux « objets ». Elle choisit néanmoins un sujet qui présente les caractéristiques d’un organe que l’on pourrait croire extrait d’un corps humain. Comme souvent chez Valérie Belin, la plasticité de certains sujets produit un effet supérieur à celui qui en émane au naturel, et l’on se trouve ainsi à la lisière du vivant et de l’inanimé.

2003 : Les photographies de mannequins

Avec cette série, Valérie Belin entreprend de réaliser des « portraits » de mannequins en cire. Ce qui a tout d’abord attiré l’artiste, c’est l’aspect hyperréaliste de ces mannequins, qui sont moulés sur de vrais corps, et que l’on peut donc considérer comme déjà des photographies (en trois dimensions) de véritables femmes‑mannequin.

2004 : Les sosies de Michaël Jackson

2006 : The “new faces portraits” series


2006 : The “colored portraits” series


2007 : Les corbeilles de fruits

Cette série a été réalisée à l’occasion de l’exposition « Correspondances : Belin / Manet » au musée d’Orsay. Cette « correspondance » avec l’œuvre d’Édouard Manet dépasse le seul jeu des analogies formelles et des parallélismes iconographiques. Comme l’artiste s’en explique, l’intérêt porté à l’art de Manet réside en partie dans l’attitude que ce dernier avait à l’égard du réel : une attention soutenue à cette présence muette des choses, sans idéalisme, sans prosaïsme exagéré, et que l’on retrouve de manière particulièrement explicite et brute dans ses natures mortes.

2007 : The “Lido dancer” series

Le spectacle d’une danseuse de l’actuelle revue du Lido, célèbre cabaret parisien en vogue à la belle époque, a fourni à Valérie Belin un argument pour la réalisation d’une série présentant les caractéristiques d’une « facticité » toute autant imaginaire que réaliste.

Une seule et même personne constitue le sujet des six photographies que comprend cette série. L’unique danseuse choisie porte un costume différent pour chaque photographie, mais Valérie Belin soumet son modèle à un protocole lui imposant de reproduire une même attitude et un même sourire d’une image à l’autre. Ce protocole de « duplication » imposé au modèle provoque le retrait de sa présence au profit d’un effet factice de répétition de sa silhouette.

2009 : The “crowned heads” series

La série des têtes couronnées évoque les « miss » que l’on récompense pour leur supériorité physique et qui rêvent d’incarner l’image parfaite. Elle s’inscrit dans le prolongement des investigations photographiques de l’artiste autour de la mise en scène de soi. Cette variation typologique se caractérise par son style, qui rappelle les portraits composites décrivant les occurrences d’un type humain, et qui trouvent aujourd’hui un équivalent dans les modélisations en trois dimensions. Ces photographies constituent plus précisément une représentation virtuelle du visage, à la fois purement artificielle et tout à fait réelle. Ces portraits sont en effet obtenus par la surimpression de plusieurs clichés du même modèle qui provoque une mise en relief du visage.

2010 : The “Black-eyed Susan” series


2012 : The “brides” series


2012 : The “Bob” series

Valérie Belin aborde pour la première fois le genre du nu. Cette série est basée sur la fusion de deux images qui se joue entre de majestueux nus de Bob (stripteaseuse aux formes généreuses qui s’inspire des pin-up américaines des années 30) et des vues de lieux habités par des décors de scène. Tout en étant exemplaire de l’attirance de la photographe pour le monde de l’artifice et du spectacle, cette série marque une mutation dans son approche. Valérie Belin transforme ici la substance théâtrale des sujets en de grandes images, sortes d’archétypes, que notre regard est invité à reconstituer à travers les surprises de sa déambulation dans une histoire des styles.

2012 : The “interiors” series

Dans la série des « intérieurs », Valérie Belin s’attache à nous montrer des lieux investis par des objets et habités par l’obsession de la « collection ». Les photographies ont en effet été réalisées dans des intérieurs où la prolifération des objets apparaît sans limite. On observe des accumulations d’objets homogènes au fort pouvoir d’évocation, dressant en creux le portrait de l’habitant des lieux. Ces « scènes d’intérieurs » nous font rentrer dans l’intimité de celui qui les orchestre : certains s’entourent des jouets de leur enfance, d’autres empilent des symboles intellectuels, ou bien se « meublent » de passé, submergent leur espace par un déluge d’objets où se dissout, au fil de leur accumulation, toute logique esthétique ou fonctionnelle…

2014 : The “still life” series

Dans le prolongement de la série des « intérieurs », Valérie Belin réalise ici des « natures mortes ». À la différence de la série précédente, l’artiste, probablement hantée par l’esprit du collectionneur, y constitue elle-même son sujet afin d’en mieux maîtriser sa composition.

Ces photographies revendiquent pleinement leur appartenance au genre artistique de la nature morte, de la vanité et du memento mori (« souviens-toi que tu vas mourir ») ; elles s’inscrivent dans cette longue tradition picturale – puis photographique. Ce sont des natures mortes contemporaines par le choix des objets qui les composent – des objets de consommation de masse, et par le choix des matériaux – le plastique étant la matière première dominante.

2015 : Super Models

La série comprend six œuvres dont les noms – Ananké, Aura, Electra, Isthar, Junita et Saffron – ont été empruntés à diverses divinités féminines de la mythologie grecque et de la télévision. Ces divinités sont représentées par six photographies de mannequins de vitrine en fibres de verre, choisis par l’artiste sur catalogue dans les « collections réalistes » du fabricant Adel Rootstein – collections dont les intitulés sont aussi assez évocateurs : « allure », « attitude », « super modèles », « charmantes et magnifiques », « grande vie et style de vie », « filles de calendrier », « nomades »… Les œuvres ont été réalisées selon une technique de « sublimation » dont l’artiste est coutumière, en l’occurrence ici par superposition de l’image du mannequin et d’un motif géométrique réalisé au moyen de composants vectoriels. Les œuvres se présentent sous la forme de photographies en couleur et en grand format.

2016 : All Star


2017 : Painted Ladies

Huit photographies en noir et blanc et en grand format : Lady_Blur, Lady _Brush, Lady_Inpainting, Lady _Round_Brush, Lady_Shadow, Lady_Strips, Lady_Stroke et Lady_Pastel. Chaque portrait tire son titre dun nom des brosses et des pinceaux que l'on utilise pour peindre ou maquiller, et des outils de retouche numérique équivalents que l'on trouve dans les logiciels de traitement d'images.

Expositions récentes[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles (sélection sur les 4 dernières années)[modifier | modifier le code]

2017

Institut Culturel Bernard Magrez, Bordeaux, France.

Valérie Belin : Méta-Clichés, (Itinérance), Three Shadows Photography Art Centre, Pékin, Chine / SCôP, Shanghai, Chine / Chengdu Museum, Chine.

Edwynn Houk Gallery, New York, USA.

2016

All Star, Galerie Nathalie Obadia, Paris, France.

2015

Valérie Belin, Les images intranquilles, Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, Paris, France.

2014

Silencio, Paris, France.

Surface Tension, DHC/ART Foundation, PHI Center, Montréal, Québec, Canada.

Galerie Nathalie Obadia, Bruxelles, Belgique.

Art@Kirchberg, Arendt & Medernach, Luxembourg.

MJ6, Spectacles vivants, Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, Paris, France.

Expositions de groupe (sélection sur les 4 dernières années)[modifier | modifier le code]

2017

La Terre la plus contraire – Les artistes femmes du prix Marcel Duchamp, Fondation Fernet-Branca, Saint-Louis, France.

Barbie, (Itinérance du Musée des Arts Décoratifs de la ville de Paris), Espace d’exposition de la ville de Gwangmyeong, Séoul, Corée du Sud.

French Connections : Photography, Norton Museum of Art, Miami, USA.

Golems. Avatars d’une légende d’argile, Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, Paris, France.

Miroir Miroir, Musée de design et d’arts appliqués contemporains, Lausanne, Suisse.

Autophoto, Fondation Cartier pour l’Art Contemporain, Paris, France.

Disorder, Prix Pictet, (Itinérance) Museum of Photographic Arts, San Diego, USA / Palau Robert, Barcelone, Espagne.

2016

Salon Frances, MACBA, Buenos Aires, Argentine.

Vanités contemporains, Maison des Consuls, Musée d’arts et d’archéologie, Les Matelles, France.

Performoeurs, Fondation Salomon, Annecy, France.

L’Œil du collectionneur – Neuf collections particulières strasbourgeoises, Musée d’Art moderne et contemporain, Strasbourg, France.

2015

Disorder, Prix Pictet, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Paris, France.

The Language of Flowers, Gucci Museo, Florence, Italie.

L’Effet Vertigo, Musée d’art contemporain de Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine, France.

Bonjour la France ! À ma chère bien-aimée, Seongnam Arts Center, Cube Art Gallery, Seongnam, Corée du Sud.

L’Art et la Machine, Musée des Confluences, Lyon, France.

Obsession, Maison Particulière, Bruxelles, Belgique.

Collections[modifier | modifier le code]

Collections françaises[modifier | modifier le code]

Bibliothèque Nationale de France, Paris ; CCF (HSBC) Foundation for Photography, Paris ; Collection Société Générale d’art contemporain, Paris ; Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris ; Collection Neuflize / OBC, Paris ; Fonds national d’art contemporain, Paris ; Groupe Altadis, Paris ; Collection Antoine de Galbert, Paris ; Maison Européenne de la Photographie, Paris, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris ; Musée des Beaux-Arts et de la Dentelle, Calais ; Musée Galliera, Paris ; Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou, Paris.

Collections étrangères[modifier | modifier le code]

The Capital Group Companies Inc., Los Angeles, USA ; Collection E.ON AG, Düsseldorf, Allemagne ; Fondation Ordóñez-Falcón, Donostia-San Sebastián, Espagne ; Groupe Lhoist, Limelette, Belgique ; Huis Marseille, Amsterdam, Pays-Bas ; International Center for Photography, New York USA ; J.P Getty Museum, Los Angeles, USA ; JP Morgan Chase Art Program, New York, USA ; Kunstmuseum Lichtenstein, Lichtenstein ; Kunsthaus Zürich, Zürich, Suisse ; Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, USA ; Mandalay Bay Resort, Las Vegas, USA ; Miniature Museum, Ria & Lex Daniëls Collection, Gemeentemuseum Den Haag, Pays-Bas ; Mudam Luxembourg, Musée d’Art Moderne Grand-Duc Jean, Luxembourg ; Musée de l’Élysée, Lausanne, Suisse ; Museum of Modern Art, New York, USA ; National Gallery of Australia, Parkes ACT, Canberra, Australie ; National Museum of Contemporary Art Korea, Séoul , Corée du Sud ; Neuberger Berman Inc., New York, USA ; Norton Museum of Art, West Palm Beach, USA ; Peabody Essex Museum, Salem, USA ; Pilara Family Foundation, San Francisco, USA ; Progressive Corp., Mayfield Village, USA ; Sammlung Essl, Kunst Der Gegenwart, Klosterneuburg, Vienne, Autriche ; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco, USA ; UBS Art Collection, Luxembourg.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Catalogue d’expositions personnelles (sélection)[modifier | modifier le code]

2016

Valérie Belin 2007-2016 / Textes de Quentin Bajac[2]

« Se détacher de la photographie », Dork Zabunyan[3]

« Comment devient-on Michael Jackson ? », entretien avec Étienne Hatt[4]

« Valérie Belin, Déconstruire, dit-elle ». – Éditions Damiani, Bologne, 2016.[5]

2015

Valérie Belin, les Images Intranquilles [Catalogue d’exposition] / Textes de Clément Chéroux « Ce qui inquiète »[6],

Larisa Dryansky « Ultramoderne, les méta-clichés de Valérie Belin », Entretien avec Roxana Marcoci [7]

« L’inquiétante familiarité » – Éditions du Centre Pompidou, Éditions Dilecta, Paris, 2015.[8]

2011

Valérie Belin, O Ser e O Aparecer [Catalogue d’exposition] / Textes de Ligia Canongia « Photographie et illusion », Adon Peres « L’être et l’apparaître », Evangelina Seiler – Casa França-Brasil, Rio de Janeiro, 2011.

Valérie Belin / Textes de Tobia Bezzola « Black eyed Susan » – JRP Ringier Kunstverlag AG, Zürich, 2011[9].

2008

Valérie Belin [Catalogue d’exposition] / Texte de Larisa Dryansky : « Les images saturniennes de Valérie Belin »[10] - Galerie Jérôme-de-Noirmont[11], Paris, 2008.

Correspondances : Valérie Belin / Edouard Manet [Catalogue d’exposition][12] / Texte et entretien avec Quentin Bajac « Photographie plastique » - Musée d’Orsay – Argol éditions, Paris, 2008.

2007

Valérie Belin [Catalogue d’exposition] / Texte de Régis Durand : « Valérie Belin, ou la peau des choses » et entretien avec Nathalie Herschdorfer. – Steidl Verlag, Göttingen, 2007.

2004

Valérie Belin [Catalogue d’exposition] / Texte de Michel Poivert : « Morbidezza » - Fundación Salamanca Ciudad de Cultura, Domus Artium 2002, Salamanque, 2004.[13]

2003

Valérie Belin [Catalogue d’exposition] / Textes de Hasier Exteberria « The Compartment » et Javier San Martin « Black ». – Koldo Mitxelena Kulturunea, Donostia – Sebastián, 2003.[14]

2002

Valérie Belin [Catalogue d’exposition] [15]– Galerie Xippas[16], Paris, 2002.

2001

Valérie Belin 1999-2001 [Catalogue d’exposition] – Galerie Xippas[17], Paris, 2001.

Valérie Belin / Introduction de Guy Boyer, texte de Philippe Piguet « Réflexions sur images ». –Actes Sud (coll. Altadis), Arles, 2001.[18]

2000

Valérie Belin / Texte de Régis Durand : « La Cérémonie des Objets ». – Actes Sud (coll. CCF (HSBC) Foundation for Photography), Arles, 2000.[19]

Catalogues d’expositions de groupe (sélection)[modifier | modifier le code]

2017

Golems. Avatars d’une légende d’argile [Catalogue d’exposition] / Textes de Paul Salmona, Ada Ackerman, Elizabeth R. Baer, Emily D. Bilski, Paul Dumouchel, Michel Faucheux, Dorothée Morel, Marc-Alain Ouaknin, Michaela Sidenberg. – Hazan, Paris, 2017. – p.129.[20]

Miroir Miroir [Catalogue d’exposition] / Textes de Marco Costantini, Henri de Riedmatten, Soko Phay, Arnaud Maillet, Agathe Lichtensztejn, Elisa Rusca, Jean-Rodolphe Petter. – Infolio éditions, Lausanne, 2017. – p.86-87.[21]

Autophoto [Catalogue d’exposition] / Textes de Xavier Barral, Philippe Séclier, Marc Desportes, Simon Baker, Nancy W. Barr, Clément Chéroux, Pascal Ory, Alain Bublex. – Éditions Xavier Barral, Paris, 2017. – p.274-277.[22]

2016

Barbie [Catalogue d’exposition] / Textes de Anne Monier, Aurore Bayle-Loudet, Frédéric Beigbeder, Denis Bruna, Michel Pastoureau. – Musée des arts décoratifs, Paris, 2016[23].

2015

Prix Pictet 06 Disorder, Textes de Kofi Annan, Simon Schama, Kamila Shamsie, Elif Shafak, Stephen Barber, Michael Benson. – teNeues Publishing Group, Kempen, 2015. – p.52-53, p.104-105.

Une collection / Textes de Pascal Hoël, Laurie Hurwitz et Jean-Luc Monterosso. – Maison Européenne de la Photographie, Paris. – Actes Sud, Arles, 2015. – p.337[24]

2014

De Marseillaise, fifteen years of collecting [Catalogue d’exposition] / Texte de Els Barents. – Huis Marseille Museum Voor Fotografie, Amsterdam, 2014. – p.12-31.[25]

Post-Photography, the artist with a camera, Robert Shore. – Laurence King Publishing Ltd, Londres, 2014. – p.74-77.[26]

Les archives du rêve, dessins du Musée d’Orsay / Carte blanche à Werner Spies [Catalogue d’exposition] / Textes de Guy Cogeval, Werner Spies. – Musée d’Orsay et de l’Orangerie, Éditions Hazan, Paris, 2014. – p.312.[27]

2013

L’élégance, Nathalie Rykiel. – Collection Manifeste, Éditions Autrement, Paris, 2013. – p.66-67[28].

Prix [modifier | modifier le code][modifier | modifier le code]

2015 Prix Pictet

2011 Prix Altadis

2001 Villa Médicis hors les murs. AFAA (Association Française d’Action Artistique).

2000 Prix HSBC pour la photographie.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Références & notes[modifier | modifier le code]

  1. Catalogue d'exposition Valérie Belin
  2. Quentin Bajac, Valérie Belin 2007-2016 / Textes de Quentin Bajac
  3. Se détacher de la photographie », Dork Zabunyan
  4. Comment devient-on Michael Jackson ? », entretien avec Étienne Hatt
  5. Déconstruire, dit-elle, Bologne, Editions Damiani,
  6. Valérie Belin, les Images Intranquilles [Catalogue d’exposition] / Textes de Clément Chéroux « Ce qui inquiète »
  7. Larisa Dryansky « Ultramoderne, les méta-clichés de Valérie Belin », Entretien avec Roxana Marcoci
  8. « L’inquiétante familiarité » – Éditions du Centre Pompidou,, Paris, editions Dilecta,
  9. (en) Tobia Bezzola, « Valérie Belin / Textes de Tobia Bezzola « Black eyed Susan » – », JRP Ringier Kunstverlag AG, Zurich,‎
  10. Larisa Dryansky, Valérie Belin [Catalogue d’exposition] / Texte de Larisa Dryansky : « Les images saturniennes de Valérie Belin », Paris
  11. « galerie Jérôme de Noirmont », sur noirmontartproduction.com
  12. Correspondances : Valérie Belin / Edouard Manet [Catalogue d’exposition] Musée d'Orsay, Paris, Argol edition
  13. (es) Valérie Belin [Catalogue d’exposition] / Texte de Michel Poivert : « Morbidezza » - Fundación Salamanca Ciudad de Cultura, Domus Artium 2002, Salamanque, 2004., Salamanque,
  14. (en) Hasier Exteberria « The Compartment » et Javier San Martin « Black », Valérie Belin [Catalogue d’exposition], Sebastián, Koldo Mitxelena Kulturunea, Donostia,
  15. Valérie Belin [Catalogue d’exposition], Paris, Xippas
  16. « galerie Xippas Paris », sur xippas.com
  17. « galerie Xippas », sur xippas.com
  18. Introduction de Guy Boyer et texte de Philippe Piguet, Valérie Belin / Introduction de Guy Boyer, texte de Philippe Piguet « Réflexions sur images ». –Actes Sud (coll. Altadis), Arles, 2001., Arles, Actes Sud,
  19. Régis DURAND, Valérie Belin / Texte de Régis Durand : « La Cérémonie des Objets ». – Actes Sud (coll. CCF (HSBC) Foundation for Photography), Arles, 2000., Arles, Actes Sud, collection CCF (HSBC),
  20. Paul Salmona, Ada Ackerman, Elizabeth R. Baer, Emily D. Bilski, Paul Dumouchel, Michel Faucheux, Dorothée Morel, Marc-Alain Ouaknin, Michaela Sidenberg, Golems. Avatars d’une légende d’argile [Catalogue d’exposition], Paris, Editions Hazan, , page 129
  21. Marco Costantini, Henri de Riedmatten, Soko Phay, Arnaud Maillet, Agathe Lichtensztejn, Elisa Rusca, Jean-Rodolphe Petter, Miroir Miroir [Catalogue d’exposition], Lausanne, Infolio éditions, , p.86-87.
  22. Xavier Barral, Philippe Séclier, Marc Desportes, Simon Baker, Nancy W. Barr, Clément Chéroux, Pascal Ory, Alain Bublex., Autophoto [Catalogue d’exposition] / ., Paris, Éditions Xavier Barral, , p.274-277.
  23. Anne Monier, Aurore Bayle-Loudet, Frédéric Beigbeder, Denis Bruna, Michel Pastoureau, Barbie [Catalogue d’exposition] / Textes de Anne Monier, Aurore Bayle-Loudet, Frédéric Beigbeder, Denis Bruna, Michel Pastoureau. – Musée des arts décoratifs, Paris, 2016, Paris, Musée des arts décoratifs,
  24. Pascal Hoël, Laurie Hurwitz et Jean-Luc Monterosso., Une collection / Textes de Pascal Hoël, Laurie Hurwitz et Jean-Luc Monterosso. – Maison Européenne de la Photographie, Paris. – Actes Sud, Arles, 2015. – p.337, Arles, Actes Sud,
  25. (en) Els Barents, De Marseillaise, fifteen years of collecting [Catalogue d’exposition] / Texte de Els Barents. – Huis Marseille Museum Voor Fotografie, Amsterdam, 2014. – p.12-31., Amsterdam, Huis Marseille Museum Voor Fotografie, pages 12-31
  26. (en) Post-Photography, the artist with a camera, Robert Shore. – Laurence King Publishing Ltd, Londres, 2014. – p.74-77., Londres, Laurence King Publishing Ltd,, , Pages 74-77
  27. Guy Cogeval, Werner Spies, Les archives du rêve, dessins du Musée d’Orsay / Carte blanche à Werner Spies [Catalogue d’exposition] / Textes de Guy Cogeval, Werner Spies. – Musée d’Orsay et de l’Orangerie, Éditions Hazan, Paris, 2014. – p.312., Paris, Editions Hazan, , page 312
  28. L’élégance, Nathalie Rykiel. – Collection Manifeste, Éditions Autrement, Paris, 2013. – p.66-67., Paris, editions Autrement, , pages 66_67